Les règles du baseball pour les débutants. 1/ Le batteur.

Les règles du baseball pour les débutants.

L’attaque. Le batteur.

Le swing de Barry Bonds.

Attention, à vous joueurs confirmés qui connaissez bien sûr les règles par cœur, je vais ici simplifier. Le but : qu’un maximum de personnes puissent suivre les matchs et comprendre ce qui sera publié par la suite sur ce blog.

Pour les autres, voilà, vous avez décidé de vous intéresser au baseball. Bravo, c’est l’un des plus beaux sports du monde !

Vous êtes allés sur Youtube vous avez vu des gars lancer des balles, d’autres en attraper, vous n’avez rien compris. Ou mieux vous avez eu la chance de voir un match en vrai (pas besoin d’aller aux États-Unis on a des équipes en France un peu partout) et vous avez vu des gars courir dans tous les sens et c’était un peu confus. Oui, je sais, ça fait ça à beaucoup de monde la première fois (et même par la suite aussi…). Mais pas de panique, on reprend ici les fondamentaux qui, je le souhaite de tout mon cœur, vous permettront de suivre la saison de baseball et surtout de vous faire aimer ce sport. Encore une fois, il ne s’agit pas d’expliquer toutes les règles dans toutes leurs longueurs mais de vous faire découvrir ce qu’est ce sport.

Wild Idea. Dan O’Brien.

Titre : Wild Idea

Auteur : Dan O’Brien

Edition : Au Diable Vauvert

Résumé : En quittant le ranch de Broken Heart pour les terres de Cheyenne river, l’auteur réintroduit les bisons dans leur milieu naturel originel. L’éleveur écrivain raconte l’aventure de la création de la Wild Idea Buffalo Company, son entreprise d’exploitation écologique et raisonnée du bison, avec sa compagne et sa fille.

Ou aux USA : Dakota du Sud

Je vous ai déjà parlé, au début de ce blog, d’un des auteurs que j’admire le plus : Dan O’Brien. Biologiste et écrivain, il a tout quitté, ou presque, pour réintroduire dans les grandes plaines un animal qui avait quasi disparu : le bison. Aujourd’hui, il revient avec un nouveau roman, autobiographique toujours,  publié aux excellentes éditions Au Diable Vauvert qui raconte comment l’aventure de sa petite entreprise, nommée The Wild Idea Buffalo Company a petit à petit pris forme et comment elle est devenu aujourd’hui plus qu’un travail, mais un mode de vie. Dit comme cela Wild Idea pourrait bien se répéter par rapport à son précédent roman : Les bisons de Broken Heart. Et bien pas du tout et c’est toujours passionnant.

Max Factor Museum Los Angeles. Musee du cinéma.

Faire Los Angeles à pied était un chouette pari, nous l’avons fait et se fut une sacrée aventure, hallucinante, avec la découverte d’endroits étonnants et des aventures parfois roots et surprenantes. Au paradis de la voiture nous fûmes d’infatigables marcheurs ! Je vous raconterai tout ça un jour, sans doute, notamment quand je vous parlerai du Griffith Park. Mais aujourd’hui, je vous emmène dans un lieu plus accessible, sur une avenue bien connue dont le nom à lui seul est un rêve : Hollywood Boulevard !

Lonesome Dove. Tome 1.Larry McMurtry

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Titre : Lonesome Dove. Tome 1.

Auteur : Larry McMutry

Edition : Gallmeister.

Résumé : A Lonesome Dove, Texas, les héros sont fatigués. Augustus McCrae et Woodrow Call ont remisé leurs armes après de longues années passées à combattre les Comanches. En cette année 1880, pourtant, l’aventure va les rattraper lorsqu’ils décident de voler du bétail au Mexique et de le convoyer jusque dans le Montana pour y établir un ranch. Commence alors un périple inédit de plusieurs milliers de kilomètres à travers l’Ouest, au cours duquel le convoi affrontera de violentes tempêtes, des bandes de tueurs et d’Indiens rebelles… et laissera de nombreux hommes derrière lui.

Où aux USA : Texas.

Quand on prend une telle claque en pleine tête il est dur de se relever, dur d’en parler et du coup, je ne sais pas par où commencer.

Si je commençais par des généralités, si tant est que l’on puisse dire des généralités sur les romans de Larry Mcmurty, je commencerais donc par remercier l’éditeur Gallmeister pour son travail sur ce roman et pour celui effectué sur tous les autres romans qu’il a publié à ce jour. Il est en effet à l’heure actuelle le seul à nous proposer une vraie collection de westerns littéraires de qualité avec Actes Sud (j’en reparlerai plus tard, sachant que la collection Actes Sud est tenue par Bertrand Tavernier un monsieur que j’admire énormément).

Avec Lonesome Dove, Lary Mcmurty remporte en 1985 le prestigieux prix Pulitzer. Il faut attendre 1990 pour avoir une première traduction en France de ce roman aux éditions First. Je n’ai pas en ma possession cette traduction qui à l’époque a été effectuée par un certain Richard Crevier donc je n’en dirai rien, mais ce qui est sûr c’est que cette nouvelle traduction établie spécialement pour cette édition est somptueuse. Voilà une façon pour moi d’attirer votre attention, et sur le travail des traducteurs mais aussi et surtout sur le travail de cet éditeur que je trouve pour ma part, encore une fois, absolument exceptionnel !

Arizona Tom. Norman Ginzberg.

 

Titre : Arizona Tom

Auteur : Norman Ginzberg

Edition : Livre de Poche collection Thriller.

Résumé : L’affaire la plus marquante de la carrière d’Ocean Miller, shérif d’une bourgade paumée d’Arizona, fut celle de Tom, douze ans, traînant en plein désert un cadavre démembré. Persuadé de l’innocence du gamin, alors que les notables l’avaient déjà condamné, Ocean mettra tout en œuvre pour retrouver la piste des coupables. Mais parviendra-t-il à sauver le petit bonhomme de la potence et à redorer son étoile ternie par son amour du bourbon ?
Embuscades, coyotes, saloons où se côtoient culs-terreux, affairistes et putains au grand cœur, Arizona Tom nous plonge, non sans un brin d’ironie, dans le Grand Ouest en pleine conquête. Un roman qui revisite le genre en se jouant des codes du Far West avec malice.

Voilà un petit roman bien étrange. Une lecture rapide et pas vraiment désagréable. Estampillé thriller, le roman ne l’est pas vraiment, ou du moins si c’est un thriller ce n’est pas un très bon thriller. Par contre le roman est un bon personnage et un excellent western!

« Je m’appelle Miller, Ocean Miller. Vous souriez ? Drôle de prénom, j’en conviens. Je le dois à ma naissance, il y a cinquante cinq ans, au beau milieu de l’Atlantique, sur un paquebot qui ralliait New York depuis Hambourg » Arizona Tom. Norman Ginzberg.

Les pieds dans la boue. Annie Proulx

Titre : Les Pieds dans la boue.

Auteur : Annie Proulx

Résumé : L’histoire d’amour de deux cows-boys brutalement brisée par l’intolérance, l’obsession viscérale d’un garçon mal aimé par le rodéo, l’obstination d’un vieux bonhomme qui veut revoir le ranch de son enfance, la solitude d’une jeune fille qui parle aux tracteurs, la folle équipée de trois femmes prêtes à tout… autant de désespoirs, de déchirures, de temps ardus et de joies improbables qu’Annie Proulx raconte avec son talent magistral et sa passion féroce du Wyoming. Des histoires rudes, violentes, drôles, où chacun lutte pour survivre envers et contre tout, dans un paysage à la fois âpre et magnifique « qu’on ne quitte que mort ».

Comment vous apercevez-vous que les choses ont assez duré ? Qu’est ce qui déclenche le signal STOP ? Quel courant électrique grésille et crépite dans votre cerveau, déclenche la décision de quitter un endroit ? Il l’avait écoutée lui raconter sa maudite histoire et les dés avaient été jetés. Pendant des années il avait cru être parti sans raison sérieuse et en avait souffert. Mais en regardant des émissions de télévision sur la nature il avait appris qu’il était temps pour lui de retrouver son propre territoire et sa propre femme. Et il y en avait des femmes là-bas ! Il en avait épousé trois ou quatre et expérimenté bon nombre.  Annie Proulx. Le bouvillon à moitié dépouillé.

Autant l’avouer d’entrée de jeu je n’ai pas aimé le film Le secret de Brokeback Moutain. Et la nouvelle qui est ici dans ce livre n’est pas forcément mieux que le film. Non, si j’ai voulu découvrir Annie Proulx c’est bien plus pour la nouvelle qui donne le titre à ce recueil : Les pieds dans la boue et pour le rodéo.

L’enfer du dimanche. Oliver Stone.

L’enfer du dimanche

Année : 2000.
Réalisateur : Oliver Stone.
Acteurs : Al Pacino, Jamie Foxx, Cameron Diaz, Denis Quaid, James Woods, LL Cool J.
Scénario : Daniel Pyne, John Logan, Olive Stone.
Chef Opérateur : Salvatore Totino

Résumé : C’est la descente aux enfers pour les Miami Sharks, une équipe de football américain qui subit une série de revers. Pour se maintenir à son poste, l’entraîneur qui commence à être serieusement contesté fait jouer un débutant talentueux. A travers cette fresque sur les enjeux du football americain, le réalisateur dresse un bilan des névroses de l’Amérique.

Dès qu’Oliver Stone s’empare d’un sujet, il gratte le mythe de l’Amérique, l’écorche et cherche à voir toujours de l’autre côté. Le cinéma d’Oliver Stone procède toujours d’une sorte de chamanisme, d’une expérience qui nous oblige à voir plus loin, d’un ensemble d’images qui nous amène à voir l’au-delà. Ce n’est pas pour rien qu’il met en scène la vie de Jim Morrison dans un métrage qui au final s’attache plus au « chaman » qu’au simple biopic didactique.

La Revanche. John Grisham.

Titre : La revanche. Version originale : Playing pizza.
Auteur : John Grisham
Edition : Pocket.

Résumé : Rick Dockery se fait virer de l’équipe de football américain de Cleveland après avoir accumulé un maximum de fautes catastrophiques. Plus personne ne veut de lui. Arnie, son agent, lui trouve une place… à Parme, en Italie. Ou comment un quaterback américain se retrouve au sein d’une équipe italienne qu’il va conduire au sommet. Publié au Canada sous le titre Victoire à l’italienne.

Où aux USA : Cleveland.

Amateur de foot américain accrochez-vous ! Si comme moi vous aimez ce sport, si pour vous chaque match de foot est un moment sacré et chaque joueur, un héro, un gladiateur des temps modernes que vous chérissez, alors ce court roman est fait pour vous.

Museum Of the Moving Image . New York.

J’adore le Queens. C’est un peu chez moi, chez nous. La ligne 7, dans un sens c’est le plaisir de retrouver Manhattan, dans l’autre sens c’est l’espoir d’y retourner le lendemain. La ligne 7, celle que l’on surnomme l’International Express, tant elle traverse de « pays » : Asie, Grèce, Moyen-Orient. C’est New York, se sont les USA. Le Queens, c’est là aussi que jouent les Mets. Et ne me dîtes pas que ce n’est pas la plus grande équipe de baseball du monde. J’adore les Mets, j’adore le baseball et j’adore le Queens. Je pourrai vous en parler des heures mais ça ne serait pas très intéressant. Un jour peut-être. Mais aujourd’hui, je vais vous parler d’une autre de mes passions : le cinéma. Et justement dans un quartier du Queens, à Astoria exactement, il y a le Museum of Moving Image. Musée du cinéma mais pas uniquement…

Mémoire d’une nuit d’orage. Nancy Pickard

Titre : Mémoire d’une nuit d’orage. Version originale : The scent of rain and lightning
Auteur : Nancy Pickard
Edition : Pocket.

Résumé : Septembre 1986. La petite ville de Rose se réveille douloureusement après une nuit de tempête. Mais une autre terrible nouvelle attend ses habitants : Hugh Jay Linder, fils aîné de la toute puissante famille d’éleveurs, a été retrouvé assassiné. Sa femme, la belle et vénéneuse Laurie, est introuvable.
Rapidement, les soupçons se portent sur Billy Crosby, mauvais garçon violent et alcoolique. Le procès est expéditif : le jeune homme est accusé de double homicide et emprisonné. La justice est faite. Le calme peut enfin revenir sur la ville…
Jusqu’à ce jour de juin 2009. Lorsque ses oncles débarquent chez elle, Jody Linder, la fille de Hugh Jay et Laurie, ne se doute pas que son quotidien va de nouveau être bouleversé : Billy Crosby vient d’être libéré. Son fils Collin, avocat, est finalement parvenu à remettre la culpabilité de son père en question.
Mais, la vie de Jody est en danger. Et pour le très soudé clan Linder, la guerre est déclarée : coupable ou non, il faut débarrasser Rose de l’immonde Crosby. Et alors que la violence se déchaîne et que chacun prend parti, Jody va trouver en Collin un allié inattendu. Ensemble, ils tentent de lever le voile sur cette troublante affaire.
Mais la vérité, elle, pourrait bien être beaucoup plus difficile à entendre que prévu…

Où aux USA : Kansas.

« Elle avait toujours trouvé le paysage de Rose et de ses environs extrêmement ennuyeux, n’avait jamais compris pourquoi les gens s’extasiaient devant ses prétendues splendeurs. A présent, elle comprenait : c’était magnifique ! Sous l’éclat changeant de la lune, des étoiles et des nuages, le décor se métamorphosait comme par magie. La lumière deferlait sur les rochers comme une vague, et leur couleur passait tour à tour de l’orangé à l’or, de l’argent au noir, puis à nouveau à l’or »